Il est ici question de déployer tout l’humour inhérent à l’acte d’avoir un premier enfant à l’âge de quarante-cinq ans…
Mais il est également question de civisme, de respect de l’intelligence, du poids des mots, du poids du moi, du triomphe du « je », puis un petit peu d’Henri Richard et des gens qui disent « je touche du bois ».
Un vibrant soliloque sur la vie et l’art de la vivre.